Elidras Sang-mêlé
Nombre de messages : 50 Race : Nymphe/Vampire Rôle : Mmh... Tuer ? Âge : Une vingtaine, d'apparence... Date d'inscription : 14/03/2007
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| Sujet: & Bla bla... Ven 23 Mar - 21:05 | |
| Je m'embête mortellement alors je vous montre ce que j'écris >_<' ;
Un vent léger soufflait doucement sur la forêt... Le silence était troublé par le doux craquement des branches et le bruissement des feuilles... Les couleurs, éclatante, donnait a l'oeil une envie folle de s'imprégner tout entier de jaune, de orange, et de rouge. Au lointain au entendait même le bruissement doux d'un ruisseau. Le brouaha des voitures, les cris des machines étaient tellement contraire à cet endroit que l'on avait du mal a imaginer qu'a peine quelque centaines de kilomètre plus loin se trouvait une grande ville. En attendant, la forêt bruissait doucement... Et moi, là en plein milieu je ne comprenais pas trop pourquoi. Pourquoi je m'étais retrouvée là. J'étais peut-être pas perdue, mais au fond, je ne savais pas ce que je faisais là. Je savais juste ce que je devais faire. Je devais marche droit... Toujours droit. Le soleil qui perçait au travers des feuilles me brûlait la peau, le vent caressait mon visage et l'odeur de la verdure imprégnait mon corps tout entier. Je me sentais délicieusement bien... Pourtant... Pourtant, il y avait comme un creux. Un espace vide, dérangeant, perturbant...Au niveau de la poitrine. Un endroit qui, il me semble, se nomme le coeur. Je crois. Quelque chose comme cela. En tout cas j'ai continué à marcher. Longtemps. Peut-être des heures, peut-être des jours, je ne sais pas. Mais soudain je me suis arrêté. Quelque chose avait bougé. Un peu plus loin devant moi. J'étais comme figée. La sensation de douce chaleur qui m'imprégnait depuis si longtemps m'avait quittée, comme balayer par le vent qui soudain était devenu tempête. Je sentais tout mon corps qui se crispait, tendu, paralyser. Et puis une demie seconde plus tard, quelque chose s'est avancé vers moi... L'ombre qui s'étendait m'empêcher de mieux distinguer ce qui s'y trouvait. Le soleil a décidé de refaire surface a ce moment là... La première chose que j'ai vu, c'est ton regard. Brun, doux, attirant, joueur...La première chose que j'ai entendue, c'est le sifflement joyeux d'un oiseau...La première chose que j'ai sentit, c'est la chaleur qui revenait, comme si jamais elle ne m'avait quittée..Et puis... Et puis le creux... Que je ne sentais plus.
Je l'ai écrit y a un moment, en Octobre passé, je crois.. | |
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